Aigrette garzette

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Egretta garzetta, 470 g, migration nocturne

L’Aigrette garzette niche dans la moitié méridionale de l’Europe, y compris dans 53 départements répartis sur l’ensemble du territoire français, en marge de zones humides essentiellement. Jadis rare en hivernage dans le Nord de la Méditerranée, c’est désormais un hivernant commun dans une grande partie de notre territoire. L’Aigrette garzette est un migrateur partiel, c’est-à-dire qu’une partie de la population reste hiverner sur place alors que l’autre entreprend une migration vers le Sud qui peut la conduire jusqu’au Sud du Sahara. Il est probable qu’une grande partie de la population nicheuse française hiverne dans la Péninsule ibérique, cependant les mouvements de l’espèce ne sont pas connus dans le détail.

Photo
© Bernard Deceuninck | LPO

Nombre de collisions aériennes enregistrées: (*)

Nombre de collisions aériennes enregistrées (*)
Année Nombre de collisions Nombre de collisions sérieuses
2019 0 0
2020 0 0
2021 1 1
2022 1 1
2023 2 2
Collisions pour l'année 2019
Année 2019
Collisions 0
Collisions sérieuses 0
Collisions pour l'année 2020
Année 2020
Collisions 0
Collisions sérieuses 0
Collisions pour l'année 2021
Année 2021
Collisions 1
Collisions sérieuses 1
Collisions pour l'année 2022
Année 2022
Collisions 1
Collisions sérieuses 1
Collisions pour l'année 2023
Année 2023
Collisions 2
Collisions sérieuses 2

(*) Les collisions incluent les collisions sérieuses.

En savoir plus sur les collisions via Pica

Phénologie de l'espèce:

Phénologie migratoire annuelle prénuptiale
Q5 Q25 Q50 Q75 Q95
20 février 22 mars 9 avril 28 avril 16 mai
Phénologie migratoire annuelle postnuptiale
Q5 Q25 Q50 Q75 Q95
23 juillet 19 août 17 septembre 19 octobre 19 novembre
Phénologie migratoire annuelle prénuptiale
Quantile Valeur
Q5 20 février
Q25 22 mars
Q50 9 avril
Q75 28 avril
Q95 16 mai
Phénologie migratoire annuelle postnuptiale
Quantile Valeur
Q5 23 juillet
Q25 19 août
Q50 17 septembre
Q75 19 octobre
Q95 19 novembre