Le Goéland argenté niche depuis la Charente-Maritime jusqu’en dans les Hauts de France. En hiver, la France accueille des populations hivernantes en provenance de toute l’Europe du Nord. Cependant, en plus de ces mouvements de migrations réguliers, l’espèce est sujette à des mouvements de dispersion, en plus d’être capable de parcourir de grandes distances (parfois > 100 km) pour se nourrir- ce qui signifie que des mouvements importants peuvent avoir lieu tout au long de l’année. C’est une espèce opportuniste pour son alimentation (déchets de rejets de pêche, carcasses d’animaux marins, faune de l’estran et des marais, semences de cultures, déchets organiques), ce qui conduit l’espèce à utiliser des habitats variés allant des zones proches côtières à l’estran, en passant par les marais salés et doux, les zones agricoles et bien sûr les décharges. Le Goéland argenté se déplace très souvent en groupes, parfois mixtes avec d’autres espèces de grands goélands, et surtout de jour (les déplacements nocturnes sont possiblement sous-estimés).
Nombre de collisions aériennes enregistrées: (*)
Nombre de collisions aériennes enregistrées (*)
Année
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Nombre de collisions
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Nombre de collisions sérieuses
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2019 |
10 |
3 |
2020 |
3 |
0 |
2021 |
5 |
1 |
2022 |
9 |
2 |
2023 |
15 |
4 |
Collisions pour l'année 2019
Année |
2019 |
Collisions |
10 |
Collisions sérieuses |
3 |
Collisions pour l'année 2020
Année |
2020 |
Collisions |
3 |
Collisions sérieuses |
0 |
Collisions pour l'année 2021
Année |
2021 |
Collisions |
5 |
Collisions sérieuses |
1 |
Collisions pour l'année 2022
Année |
2022 |
Collisions |
9 |
Collisions sérieuses |
2 |
Collisions pour l'année 2023
Année |
2023 |
Collisions |
15 |
Collisions sérieuses |
4 |
(*) Les collisions incluent les collisions sérieuses.
En savoir plus sur les collisions via Pica